Artistes : Northern Lights

A l’occasion de la sortie de leur premier album “Hopes and Disillusions”, nous avons posé quelques questions à Lucas Depaul-Michau, chanteur du groupe de Metalcore Northern Lights.

Est ce que tu peux nous présenter Northern Lights ?

Lucas Dépaul-Michau : Northern Lights est un groupe de Metalcore moderne composé de 4 membres.Jeffrey Lassère au chant et à la batterie, Jonathann Colas à la guitare, Adrien Macgerman à la basse et moi même Luca Depaul-Michau au chant. Nos morceaux allient des passages rythmés à des nappes atmosphériques.Notre choix est aussi d’utiliser pas mal de chant clair pour contrebalancer les hurlements. On essaye de faire une musique recherchée tout en restant accessible.

Ce n’est pas trop compliqué d’être à cheval entre 2 villes et, dans votre cas, même 2 régions ?

LDM : Non, il faut savoir qu’au début du groupe, notre guitariste Gabrielle (qui aujourd’hui est en Pologne et ne fait plus parti de la formation) était en Allemagne. Alors qu’est-ce que 60km quand on a composé un album dans deux pays différents ? Nous composons beaucoup chez nous et utilisons des logiciels de MAO pour associer nos idées.

Vous avez dévoilé un premier extrait de l’album à venir titre : “No place for Dreamers”. Pouvez-nous parler de ce titre ? Est-ce qu’un clip est prévu ?

LDM : Ce titre est un des derniers à avoir été composé pour l’album. Il parle des déceptions et des inquiétudes mais aussi des espoirs que l’on peut placer dans une relation. Nous l’avons sorti en décembre et il y a déjà plus de 5000 écoutes en trois semaines. C’est juste dingue ! On a fait une “lyric vidéo” pour ce morceau. Le clip sera pour le prochain morceau et je peux même dire qu’il sortira le 24 janvier, date de la sortie de l’album “Hopes and Disillusions”

Justement, votre nouvel Album “Hopes and Disillusions” sort ce mois-ci. Comment s’est passé la préparation de ce LP ?

LDM : C’est le travail de plusieurs mois de compositions par Jeffrey, Jonathan et Gabrielle. Ils ont travaillé via logiciels comme je l’expliquais avant car Gabrielle vivait en Allemagne à cette époque. Je suis arrivé dans le groupe à la fin du processus de composition. J’avais donc tous les textes à écrire et les lignes de chant à composer dans l’optique de pouvoir finaliser cet album. On a d’abord enregistré des versions pré-prod pour préparer le travail et ensuite nous nous sommes réunis chez Jeffrey le batteur qui dispose d’un home studio pour enregistrer la version définitive de l’album. Ça nous a pris 2 semaines. Ensuite, il s’est occupé du mixage et le mastering a été fait par Dimitri Biehlmann au studio “Le Garage” à Sens.

Comment travaillez vous le côté live ? Est-ce que vous avez préparé quelque chose de particulier pour défendre cet album ?

LDM : On bosse beaucoup chez nous les morceaux ! Du coup, cela nous fait gagner beaucoup de temps en répétition car nous connaissons les morceaux sur le bout des doigts. Notre objectif est de proposer un set net et précis pour que les gens puissent apprécier pleinement nos morceaux. Avec le départ de Gabrielle nous n’avons pas
trouvé de guitariste donc nous avons samplé sa guitare. Cela ne
nous laisse aucune marge d’erreur ! Récemment, nous avons également investi dans des ears monitors afin de tous avoir le métronome dans les oreilles pour garder le cap et faciliter les transitions entre les passages et les morceaux. Aujourd’hui, le live est la vitrine du groupe et nous ne laissons pas de place au hasard ! Notre souhait est vraiment que les gens qui viennent en concert puissent pleinement apprécier notre musique. Nous sommes tous perfectionnistes dans le groupe donc nous nous retrouvons parfaitement dans ces points !


Ce contenu est partagé dans le cadre de la collaboration entre musiquesactuelles.net et le Polca – Pôle Musiques Actuelles.

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